lundi 31 août 2009

Remerciements radiophoniques...

Je repense aux personnes qui m'ont aidé à faire de la radio. Tout d'abord Michèle Larivière. Lors du tournage du son film "Le Manuscrit perdu", elle m'a permis de rentrer dans cette maison, d'y rencontrer des journalistes lors de différentes interviews. C'était en 2002 et ce fut le coups de foudre.
Ensuite, quelques mois après, il y a eu l'ami Benoit Duteurtre, rencontré à Montpellier au festival alors que je présentai Les Fées du Rhin. Il m'a invité régulièrement dans son émission pour parler d'Offenbach, puis a fait de moi un de ses chroniqueurs réguliers ; tâche que j'accomplie toujours avec autant de plaisir depuis quelques années. Il faut dire que les agappes peu frugales qui suivent chaque émission rendent ce rendez-vous encore plus attendu...
Merci, bien sur, à mon ami Philippe Bourgey qui a énormément fait pour moi dans cette maison. Grâce à lui, j'ai connu plein de monde. Grâce à lui, je suis comme un poisson dans l'eau dans ce grand paquebot qu'est la maison de la radio. Merci mon ami !
Un grand merci aussi à Thierry Beauvert qui m'a confié de nombreuses émissions que ce soit en été ou sur la grille d'hiver. Merci à Arianne Chanteloup qui a aussi beaucoup contribué à ce que la direction ne m'oublie pas, malgré mon éloignement du monde parisien.
Merci à tout ceux qui m'ont donné des coups de mains et ont su me réconforter lors de mes débuts, alors que je tremblais comme une feuille derrière le micro : Sophie Pichon, Pierre Antoine Fautrier, Jean-Claude Duval, et surtout ma grande copine et tendre amie Chantale Barquisseau.
Merci à tous, car c'est vraiment un métier que j'aime. Partager avec les auditeurs la musique qui me fascine, mais aussi quelques sentiments et réflexions sur le monde qui nous entoure, c'est vraiment fabuleux.
C'est vrai que je suis un peu tristre d'avoir moins d'heures d'antenne qu'à une certaine époque. Mais ne sait on jamais... Ces choses là, ça va, ça vient... Et puis je n'oublie pas qu'il ne s'agit pas de mon activité professionnelle principale, mais d'un "plus" que la vie m'a gentiment offert....
Merci aussi à mes trois petites fées de l'Ina : Martine Auger, Béatrice Montoriole et Christiane Lemire. Grâce à elles, c'est sans crainte et même avec plaisir et empressement que je vais travailler à la rue Mangin. Ce ne fut pas toujours le cas...

J'espère n'avoir oublié personne...

dimanche 29 mars 2009

Réduction orchestrale

On vient de passer à l'heure d'été... Quelle joie ! 

Sinon... "Oui, je l'avoue et m'en fais gloire" (Maître Péronilla - air du Chocolat)... Je suis maintenant persuadé que, lorsqu'on a pas les moyens financiers ou l'espace pour donner une oeuvre d'Offenbach avec orchestre complet, la meilleure solution est de prendre le matériel d'orchestre originale d'une oeuvre, d'utiliser les parties de flûtes, hautbois, première clarinette et le quintette à cordes, en y ajoutant un piano qui utilisera la réduction traditionnelle que le pianiste "allégera" afin d'éviter les doublures inutiles. On obtient ainsi une très jolie et très naturelle version de chambre, à laquelle le piano vient offrir profondeur et liant, et seulement pour 8 instruments. On peut ajouter une seconde clarinette, un basson et un cor. Nous voici avec un effectif de 11 musiciens. Voir un cornet à pistons (qui devra jouer seulement le passages où il est utilisé en soliste, mais surtout pas les doublures en tutti, ce qui dénaturerait horriblement le coté chambriste de cette "adaptation". A ces 12 musiciens peut encore s'ajouter une seconde grande flûte (qui remplacera le piccolo trop bruyant pour cet effectif), un percussionniste jouant le triangle et le tambourin (qui remplaceront avantageusement les parties de grosse caisse et cymbales), un second cor, un second cornet et un trombone. Mais il me parait heureux d'épurer considérablement les parties de ces trois derniers instruments et de ne conserver que les passages où ils jouent en solistes. Oublions les timbales.... Nous voici donc avec une réduction orchestrale de 17 musiciens (maximum), qui vaut bien tous les arrangements du monde. Cela demande évidement d'excellents musiciens.... Et ceci concerne seulement les oeuvres d'Offenbach instrumentées originellement pour un petit effectif (2121 2210 TP cordes). 

mardi 3 février 2009

Ce 3 février 2009

Aujourd'hui, je recommence à m'occuper de mon Musée virtuel dédié à Offenbach. C'est beaucoup de travail, ne dirait-on pas : numérisation, mise en ligne... Mais je pense qu'il est aussi utile que nécessaire d'exposer tous ces petits trésors, plutôt que de les laisser dans l'obscurité d'un placard, loin des regards. Tant de collectionneurs se contentent de contempler égoïstement leurs collections et n'en font profiter personne. Triste mentalité... que j'ai souvent rencontrée.

Autrement, il est question de donner à Nancy la saison prochaine La Vie parisienne, dans la version de Bruxelles. Ce serait une bonne chose. Les représentations seraient précédées d'une conférence de présentation de l'oeuvre, par votre serviteur. A suivre...